Démasquons les mensonges sur le Xinjiang des pseudo-chercheurs

Source:fr.china-embassy.gov.cn 2022-06-18 | | Publié le:2022-06-21

Nous avons noté que dans son édition parue le 9 juin, le journal français Le Monde a publié une tribune signée par une dizaine de « chercheurs » des États-Unis, du Royaume-Uni, de France et d’autres pays occidentaux, intitulée « Les preuves existent : Pékin a enfermé de façon arbitraire au moins un million d’Ouïgours dans des camps et des prisons ». Imbu d’intentions sinistres, d’opinions biaisées, d’assertions paranoïaques et d’arguments burlesques, cet article est insupportable à lire. Mais puisque les mensonges sur le Xinjiang ont refait surface, nous reprenons volontiers notre plume pour les démasquer, faits à l’appui. 

Cette poignée de soi-disant « chercheurs » accusent la Chine en brandissant les questions fictives sur le Xinjiang. Mais une lecture attentive de leur article suffit pour s’apercevoir que les accusations qu’ils lancent contre la Chine, telles que « génocide », « stérilisation forcée », « travail forcé », « agressions sexuelles massives », « torture » et « répression des croyances religieuses », ne sont rien d’autre qu’un scénario de mensonges qu’ils ont tiré de la poubelle de l’histoire de leurs pays. Nous ne nous lassons pas d’apporter une fois de plus les éclaircissements : la population ouïgoure du Xinjiang est passée de 5,55 millions à près de 12 millions au cours des 40 dernières années, d’où viennent le « génocide » et la « stérilisation forcée » ? Le niveau de mécanisation dans la récolte de coton au Xinjiang a dépassé 98 %, d’où vient le « travail forcé » ? Même à l’époque de la cueillette manuelle, les agriculteurs locaux employaient des travailleurs saisonniers venus d’autres provinces chinoises et les payaient bien plus que le salaire moyen local. Avec plus de 20 000 mosquées au Xinjiang, le nombre de mosquées par habitant musulman est plus élevé que dans de nombreux pays musulmans, comment peut-on parler de « répression de la liberté religieuse » ? Les soi-disant « agressions sexuelles massives» et « torture » sont de pures inventions et une insulte au discernement de la communauté internationale. Si ces « chercheurs » ont monté un scénario aussi horrible pour dénigrer la Chine, c’est parce qu’ils s’inspirent des crimes odieux de leurs propres ancêtres anglo-saxons tels que le massacre des Amérindiens et l’oppression des esclaves noirs.

L’article affirme qu’une grande partie des preuves proviennent de documents officiels du gouvernement chinois disponibles ou piratés sur Internet. Les documents qu’ils ont obtenus sont peut-être authentiques, car les gouvernements à tous les échelons en Chine se soumettent au principe de la transparence de l’administration, ce qui est un exemple de gouvernance démocratique. Mais l’interprétation qu’ils en ont fait est une pure escroquerie. Par exemple, l’article prétend qu’« un nombre croissant d’enfants ouïgours ont été séparés de leur famille, envoyés dans des internats... ». Il est connu que le Xinjiang est une région vaste et peu peuplée, dont 80 % des districts et des villes sont situés dans des zones montagneuses et reculées. Les internats ont été introduits pour optimiser les ressources éducatives et offrir aux enfants en âge scolaire un meilleur accès à l’enseignement. Il s’agit d’une politique dans l’intérêt du peuple. Or ces « chercheurs » antichinois la dépeignent faussement comme la « séparation des enfants de leurs parents » ! Tous leurs mensonges sur le Xinjiang sont créés selon des méthodes similaires : en substituant furtivement une chose à une autre, en décontextualisant les faits ou en faisant passer le noir pour le blanc. Quant au cyberpiratage, l’Occident se prétend toujours gardien du cyberespace et accuse à la moindre occasion les autres pays de cyberattaques. Mais cette fois-ci, ils prennent un malin plaisir à utiliser les soi-disant « Xinjiang Police Files » piratés pour duper le public. La honte n’a plus de limites.

Ces soi-disant « chercheurs » prétendent être une « une communauté d’experts académiques », mais ne sont, en réalité, qu’un groupuscule à la solde des forces antichinoises occidentales. Ce sont des fabricants et colporteurs professionnels des mensonges sur le Xinjiang, dépourvus de toute éthique intellectuelle. Il n’est pas étonnant que les conclusions de leur rapport n’aient pas été reprises par la Haute-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme. Si les Ouïgours du Xinjiang vivaient dans un enfer sur terre comme ils le décrivent, pourquoi pas un seul pays musulman dans le monde ne blâme-t-il la Chine ? Ils se disent préoccupés par les droits de l’homme des musulmans, mais pourquoi ferment-ils les yeux sur les morts, les affres et les déplacements de populations musulmanes causés par les guerres déclenchées par les États-Unis en Afghanistan et en Irak ? Pourquoi font-ils la surdité aux crimes de torture commis par l’armée américaine dans les prisons de Guantanamo et d’Abou Ghraib ? Pourquoi restent-ils les bras croisés devant les atrocités commises par des soldats australiens en Afghanistan contre des civils et des enfants innocents ? Pourquoi restent-ils indifférents face aux problèmes endémiques de la discrimination raciale et du travail des enfants aux États-Unis ?

Les faits ont prouvé à maintes reprises que c’est pour servir leur agenda politique d’« utiliser le Xinjiang pour contenir la Chine » que les forces antichinoises occidentales ont concocté, sous le couvert des droits de l’homme, des mensonges du siècle sur le Xinjiang. En 2021, Sheila Carey, consule et cheffe de la section économique et politique du Consulat général des États-Unis à Guangzhou, ainsi que son collègue Andrew Chira ont confié à des invités lors d’un cocktail : « Nous savons que nous n’avons rien à reprocher au Xinjiang, mais faire du battage médiatique sur le travail forcé, le génocide et attaquer leur politique des droits de l’homme à travers la question du Xinjiang est un moyen efficace pour découpler les entreprises du Xinjiang de la chaîne industrielle internationale, susciter le mécontentement des Ouïgours, saper les relations interethniques en Chine, appauvrir, déstabiliser le Xinjiang et même le séparer de la Chine. Nous pouvons nous en servir pour embourber le gouvernement chinois. » Ils ont également souligné que le gouvernement américain avait de profondes réflexions derrière cela et espéré que les entreprises américaines comprendraient qu’il s’agit d’un « bras de fer ». Dans un discours prononcé à l’université de Stanford il y a peu, l’ancien président américain Barack Obama a dit qu’il « suffit d’inonder l’agora médiatique d’un pays avec suffisamment d’eaux usées. Il suffit de soulever suffisamment de questions, de répandre suffisamment de calomnies, d’implanter suffisamment de théories du complot pour que les citoyens ne sachent plus que croire. Une fois qu’ils ont perdu confiance dans leurs dirigeants, dans les médias principaux, dans les institutions politiques, les uns dans les autres, et dans la possibilité de la vérité, le jeu est gagné. » 

Les nuages sombres ne sauront pas occulter le soleil, et les esprits avisés ne se laisseront pas berner par les rumeurs. Nous espérons sincèrement que nos amis français aiguiseront leurs regards et perceront à jour les manigances de ces forces antichinoises pour voir le vrai visage du Xinjiang, marqué par la solidarité interethnique, la stabilité sociale et la prospérité économique.

En outre, Le Monde a publié sur la même page une tribune signée par trois députés européens qui appellent l’UE à « interdire les produits résultant du travail forcé ».  Bien que ces députés aient nommé plusieurs pays dans leur tribune, c’est un secret de polichinelle que leur véritable cible était la Chine. Une responsabilité majeure des députés, en tant qu’élus du peuple,est de promouvoir la confiance mutuelle et l’amitié entre les peuples, plutôt que d’attiser le feu et d’inciter à la haine. Certains députés prennent pour argent comptant et diffusent allégrement les fausses informations inventées de toutes pièces par des personnes sans crédibilité ni intégrité, et s’immiscent brutalement dans les affaires intérieures de la Chine sous prétexte des droits de l’homme. Ce qu’ils font, ce n’est pas la protection, mais la violation des droits de l’homme, des droits au travail, à l’emploi, à l’existence et au développement de la population de tous les groupes ethniques du Xinjiang ! Le même jour, le Parlement européen a adopté une résolution qui stigmatise avec virulence les droits de l’homme au Xinjiang et la politique du gouvernement chinois au Xinjiang, ce à quoi la Chine a exprimé sa vive indignation et sa ferme opposition. Si la partie européenne s’avise de s’en prendre aux produits du Xinjiang en emboîtant le pas aux États-Unis, la Chine prendra des contre-mesures fortes et sauvegardera résolument ses intérêts et sa dignité. À ce moment-là, il est fort probable que les intérêts des pays et des circonscriptions des députés susmentionnés seront la première visée.


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